C'est difficile de définir "un bon coup". Ca veut dire quoi ? On peut prendre un pied mortel dans une missionnaire toute simple, ou se faire chier comme la mort lors d'une sodomie sauvage en levrette alors que sa partenaire à l'air à fond dans le truc (les deux me sont arrivés).
Mais bon, elle je dirais que c'est un bon coup. Car quoiqu'on faisait ensemble, quoiqu'elle me faisait, quelle que soit la façon dont elle le faisait, c'était toujours bien.
On est resté longtemps ensemble, à baiser comme des castors, mais il n'a jamais été question de sentiments. Donc pas d'émotions particulières pendant l'acte, comme c'est le cas lorsqu'on couche avec la personne dont on est amoureux.
Il y a des souvenirs sexuels qui créent une crispation au niveau du sternum.
Il en est d'autres, où c'est plutôt au niveau du bas-ventre.
L'autre jour je me suis souvenu d'un truc avec cette petite coquine qui ne payait pas de mine.
On était en voiture. En plein jour. Sur le périph'.
Je ne sais plus trop comment c'était parti. On avait dû en parler.
Ca m'est déjà arrivé de me faire sucer en conduisant. Je me souviens d'une nationale, au retour du ski, la nuit, il a fallu que j'éjacule juste au moment il y avait un croisement avec des lampadaires bien puissants, à un croisement bien fréquenté, j'avais fait comme je pouvais pour rester en ligne droite et ne pas nous tuer tous deux.
Là elle qu'on la regarde, sur le périph, elle s'en foutait. Je crois que pour une fois elle était en jupe. Elle a enlevé sa culotte, commencé à se tripoter sa chatte toute épilée d'une main, et a me caresser la braguette de l'autre.
Les automobilistes qui passaient à côté de nous étaient parfois hallucinés, lorsque, pour conduire des voitures (ou des camions) un peu plus hauts que ma petite Ford de l'époque, ils avaient une bonne vue sur une jeune femme en train de se masturber tranquillement sur le siège passager.
Qu'on la regarde ne la gênait pas le moins du monde. Je sais pas si ça l'excitait, parce qu'elle ne leur adressait même pas un regard, à ces enculés de lubriques qui mattaient.
Elle, elle était toute occupée par ce qui se passait à l'intérieur, de sa chatte notamment.
- D'façons on les recroisera jamais, c'est grand l'Ile de France, elle m'a dit plus ou moins.
Quand elle a senti que j'étais bien chaud, bien raide, elle s'est penchée sur ma braguette, l'a ouverte, a libéré mon sexe qui ne demandait que ça, et a commencé à me pomper comme elle savait si bien faire.
En se plaçant un peu sur le côté, elle pouvait continuer à se masturber traquillement. Si bien qu'on ne voyait plus trop ce qu'elle faisait depuis l'extérieur, mais on voyait très bien ce qu'elle ME faisait.
Je faisais ce que je pouvais pour me concentrer sur la route. Ma hantise : changer de voie sans faire gaffe, me faire flasher dans cette posture, ou nous faire arrêter par les keufs.
En tous cas, je me souviens très bien avoir éjaculé dans sa bouche en tenant le volant autant que je pouvais, avec les deux mains, en poussant un putain de cri, en crispant mes reins à mort.
Elle a bien tout avalé, en se léchant les babines.
Je crois qu'elle s'est finie à la main. Je me souviens d'une grosse tâche sur son fauteuil lorsque nous sommes arrivés à destination. Elle avait mouillé à mort.
Grâce à Annelolotte, vous avez même la vidéo :
http://softparis.typepad.com/annelolotte/2006/09/blowjob.html