Vraiment elle payait pas de mine.
Mignonne, mince, jolies fesses, mais elle les mettait rarement en valeur, en portant des tailleurs pas terribles, avec souvent la marque de l'élastique de la culotte qu'on devenait facilement, seins fermes et arrogants lorsqu'elle mettait un petit tee-shirt qui la moulait dignement.
Je la voyais souvent prendre des pauses à peu près aux mêmes moments que moi au boulot. On était plus ou moins collègues de bureau, mais pas dans le même service. On avait jamais l'occasion de parler business.
Lorsqu'on se croisait, elle évitait un peu mon regard, avec un petit sourire de grosse timide.
Grosse timide tu parles, c'était une grosse chaudasse !
Elle avait un petit appartement en banlieue, avec un grand lit au milieu, et un gros gode dans son placard. On en a acheté un autre ensemble un peu plus tard, un petit anal.
Ca c'était son truc. Pour la faire démarrer, il suffisait que je lui lèche l'anus. Elle me l'avait pas dit, elle m'avait laissé trouver tout seul SA zone érogène number one.
La sodomie of course elle adorait. Lorsqu'elle était sur le ventre, elle aimait bien que je tapais sur ses fesses avec mes hanches, en la lui mettant bien à fond dans les fesses, dans un va-et-vient très rapides, qui la faisait crier des "PUTAIN COMME C'EST BON PUTAIN OUI METS-LA MOI BIEN A FOND PUTAIN !!" avant de jouir en criant la plupart du temps (c'est d'ailleurs lors d'une séance de sodomie bien appuyée qu'un de ses connards de voisins avait tambouriné contre sa porte en criant "c'est pas bientôt fini non ?" comme raconté là
http://forum.nutsforum.com/index.php?topic=4538.msg92226#msg92226 ).
Je vous en raconterai d'autres avec elle si vous êtes gentils, mais une fois j'avais halluciné. Je me branle encore - malgré les années, malgré les engueulades - en pensant (notamment) à cette petite séance.
Elle me dit de m'asseoir à côté du lit.
Elle se met à quatre pattes et s'empare de son gode anal. Elle commence à le lécher, le sucer, l'enfoncer dans sa bouche.
Elle le dirige vers ses fesses et l'enfonce d'un geste ferme dans son cul, de tout son entier.
Elle commence à se branler l'anus devant moi. Son mouvement est rapide. Ses yeux sont fermés, les dents serrées, elle ouvre parfois la bouche pour pousser un cri, et au bout d'à peine ou à deux minutes, elle commence à pousser les cris qu'elles affectionne tant : "putain que c'est bon".
Au bout d'un moment elle retire le gode et s'enfile deux doigts dans le cul. Elle commence à se branler sévèrement.
Elle les retire, les lèche un peu et s'en enfile un troisième. Elle ne les faisait pas vraiment entrer et ressortir. Elle les laissait au plus profond et se travaillait l'anus en bougeant sa main de haut en fait, de plus en plus violemment.
Elle s'est faite jouir comme ça. D'une main. Avec trois doigts au fond de son cul.
Devant mes yeux ébahis. Sans parler du reste.