La soubrette et moi

[Bertrand Morane]

Ca ressemble à un mauvais film porno mais pourtant j'ai toujours fantasmé sur les soubrettes. Certes c'est cliché, mais c'est que je n'en ai jamais eu. Ni nounou, ni femme de ménage, keud.

Je l'imagine blonde, les cheveux noués en chignon, un air un peu sévère et coincé, dans le genre blonde Hitcockienne. Vous voyez, celle qui se transforme en chaudasse en dénouant ses cheveux, prête à vous faire une pipe dans un taxi sitôt vous la regardez avec un air lubrique à souhait.

Les soubrettes en porte-jarretelle et à la jupe trop courte, qui laissent deviner le motif de ses bas, ça n'existe que dans les boulards.
Mais même si ce n'est pas pratique, j'imagine ma soubrette en talons, en bas noirs.

Elle est de dos. Elle se retourne vers moi. Elle connaît mes intentions. Je devine les siennes dans ses yeux dont la franchise me surprend, et m'excite.
Du sexe brut nous attend peut-être.

Nous verrons.

[petite sorcière]

IIh iih et moi j'attends la suite !!! ben pourquoi pas une brune !!!

[Bertrand Morane]

tu verras pourquoi... 

[petite sorcière]

tu verras pourquoi... 

Tu as raison..les brunes préfèrent le rôle du "Maître" et aiment leur soubrette... à leur pied.

Bon je m'installe sur le fauteuil..et "mâte" la suite, sans intervenir..

[Bertrand Morane]

Elle entre dans mon fantasme.

Je ne vais pas tarder à entrer dans son corps. Je ne sais encore par où je vais commencer. Nous verrons. Elle verra. Je pense que ça sera brut, instinctif.

- J'ai envie que tu t'approches, que tu soulèves ta jupe devant moi. Que tu glisses tes mains le long de tes cuisses en la remontant. Doucement.

Bob explose déjà dans mon futal. Il a déjà envie de sortir. Voir de plus près ce qui se cache en haut de ces bas.
Un peu de patience bonhomme.

[Bertrand Morane]

Ca bouillonne, mes sens sont en éveil, Bob (oui, je vous avais pas dit, mon frère ingrat c'est ma bite) n'en peut plus.

- il se passe pas mal de choses par la tête. Notamment que je vais te baiser. Mais je vais commencer par te lécher la chatte. Approche petite salope.

J'accompagne ces mots fermes et crus d'un geste approprié. J'enfonce une phallange dans son sexe pour l'attirer vers moi.
Elle s'avance un peu, sa jambe droite sur le côté de mon fauteuil, sa jambe gauche pliée, son talon vient se placer à côté de mon épaule.

Elle m'offre une vue imprenable sur son pubis, épilé comme celui d'une coquine.
Son string très fin est sur le côté, pour l'instant il ne me gêne pas. Je lui caresse les lèvres avec un doigt, que je lèche une fois, même si ce n'est pas nécessaire tant elle est mouillée. C'est juste pour qu'elle me regarde à cet instant, qu'elle regarde cette langue qui va faire quelques centimètres en avant dans quelques instants.
Elle a détaché son chemisier, et se caresse les seins. Sa poitrine est belle. Ses tétons fins se durcissent. Quelle belle salope.

Je mets ma main sur ses fesses et l'attire vers moi. Ma langue explore sa chatte, ses lèvres, son clitoris. Je me délecte de sa mouille. Elle gémit.
Je relève la tête. Sa langue humecte ses lèvres au dessus de moi.
Je l'attire plus près. Ma bouche prend possession de sa chatte, pour la recouvrir entièrement. Ma langue est de plus en plus curieuse, profonde. Son sexe devient chaud tout d'un coup. Elle pousse comme un cri.

- As-tu envie de jouir ?... je lui demande.

[Bertrand Morane]

L'émotion peut-être... 

[Bertrand Morane]

Je me lève brusquement, cela la surprend. Pas tout à fait. C'est ce qu'elle attend. Etre surprise. Etre prise.

Tout en la regardant, je passe derrière elle. Je la pousse d'un geste dans le fauteuil, l'installant à quatre pattes, les jambes écartées en bute contre les accoudoirs, les coudes posés sur le dossier.

J'appuie sur sa tête, pour qu'elle soit contre le dossier, bien soumise, et je la lui tourne vers moi, pour qu'elle me regarde la baiser comme une chienne, puisque c'est ce qu'elle semble vouloir.
Ca tombe bien, moi aussi.

Je soulève sa jupe et lui descend le string jusqu'aux genoux. Elle veut se soulever pour que je le lui enlève complètement, mais non, elle le gardera ainsi.
Je touche sa chatte.

- Pas assez mouillée, lui dis-je, fermement.

Je la fesse. Une marque, bien rouge. La première.
Je touche son sexe. Me baisse pour lui lécher l'anus. Sa chatte devient plus chaude, cela lui plaît.

- Salope !

Subitement je m'introduis. Elle ne s'y attendait pas vraiment. Forcé-je passage ? Pas vraiment... elle était déjà bien dilatée, et carrément mouillée.
Mais je vais directement au fond, avec mon sexe bien dur. Elle m'excite. Elle me regarde. La bouche ouverte. Je sais qu'elle joue un rôle, celui de la soubrette dans un film porno.
Sauf que sa chatte ne ment pas.
J'aggripe fermement ses hanches et accélère le mouvement. Elle se cambre, se raidit. Je peux ainsi aller au plus profond de ses entrailles. Je crois que je touche parfois le fond de sa chatte car elle pousse un petit cri de temps à autre, serrant les dents, de douleur, à moins que ce ne soit le plaisir qui en découle. Quelle salope !
Je la fesse à nouveau. Une nouvelle marque.
De la sueur perle sur son front. Je touche ses seins. Elle transpire au milieu. Je les pétris, ils durcissent.
Elle bouge une main pour la diriger vers son clitoris.
Je lui attrape le bras au vol pour le lui remettre sur le dossier.

- Si tu veux te caresser, demande-le moi d'abord, salope !

[SOLEIL]

  Que l'on appelle les pompiers... je suis en feu  et dire que je suis seule ce soir..
c'est tout simplement DIVIN 

[Bertrand Morane]

Je me répands en elle. Je la possède entièrement.

Je la regarde subir mes assauts. Elle gémit. Elle se cramponne. Je suis excité à mort. Mes coups de boutoir sont presque violents. Mon sexe me fait mal. Mon érection est douloureuse à la base de ma bite. Mes couilles sont dures.

J'attrape ses cheveux, à pleines mains. Je tire sa tête en arrière. Avec mon autre main, je cherche une de ses fesses. Je me faufile dans son porte-jarretelle.

Je cherche son anus. Sa mouille a déjà glissé entre ses fesses. Son cul est dilaté. Facilement, j'y glisse une phallange. Elle se raidit. Veut redresser la tête. Je tire encore plus sur ses cheveux. Et j'enfonce mon doigt dans son cul. Ca rentre tout seul.
Je sens mon sexe avec mon doigt.
Elle gémit. Elle attrape fermement les épaules, ses ongles entrent dans ma peau. Je la regarde, en lui enfonçant au plus profond de ses entrailles mon doigt et ma bite.
Elle ouvre la bouche, semble se contracter.

- Tu veux jouir espèce de chienne ?

[Bertrand Morane]

Je fourre ma langue dans son anus. J'arrive à la pénétrer un peu ainsi, presqu'à moitié, un peu moins sans doute. Je le sens se contracter, se dilater.

- Ecarte tes fesses salope que je t'encule bien à fond.

Elle s'éxécute. Avec ses deux mains, elle m'ouve son cul. Son petit trou s'offre à moi. J'introduis ma bite, jusqu'à la garde. J'appuie sur sa tête. Avec mon autre main, j'attrape mon sexe, que je fais ressortir de son cul, pour le lui remettre dans l'anus, et le ressortir, comme dans les films pornos que je sais qu'elle regarde. Plus je le fais, moins son anus se referme. Plus elle écarte ses fesses. Plus elle gémit.

- Je vais te faire jouir par le cul.
- Oui, me répond-elle dans un souffle.
- Caresse-toi.

Une de ses mains se dirige vers son clitoris, l'autre vers ses seins. J'attrape ses fesses et la pénètre bien à fond. Je sens son anus qui palpite, qui se contracte et se décontracte au gré de mes mouvements. Je sens sa chatte faire de même, elle y met sans doute un doigt ou deux, peut-être trois.
Je ne le vois pas, mais je pense qu'elle se titille le téton avec son autre main.
Mon mouvement s'accélère un peu. Elle se raidit. J'ai l'impression qu'elle mouille de l'anus, à moins que ce ne soit moi.
D'un coup j'accélère franchement. Elle crie.
Je la fesse. Elle se raidit. Je sens son anus se dilater, son sexe aussi. Je pense qu'elle y introduit un doigt supplémentaire.
Je viens taper mes hanches contre ses fesses.
Ses orifices se resserrent. Ses cris se rapprochent. Elle va jouir. Des spasmes commencent à monter le long de son corps.
Je pousse mon sexe au fond de son cul, me contracte pour essayer de gonfler mon gland, si tant est que cela soit encore possible. Ma bite me fait mal.
Elle a des soubresauts. Son souffle est coupé. Au bout de longues secondes, elle reprend son souffle. Commme elle peut.
Elle est en sueur. Les yeux fermés. Je continue mon mouvement dans son cul.
Je n'en ai plus pour très longtemps avant d'exploser à mon tour.

[Bertrand Morane]

Elle me regarde.
Elle me laisse, me laisse décider comment je vais jouir. Je ne sais pas trop ce qui se passe. Je perds un peu le contrôle.

- Tu veux jouir dans mon cul ? elle me demande.

Je ne sais pas. Je suis en sueur. J'ai mal aux couilles. Entres les cuisses. Mon gland est gonflé à bloc je pense. Je ne sais plus rien en fait.

- Contracte ton cul, arrivé-je à lui dire enfin.

Je sens l'orgasme monter doucement, partant tout en bas, entre mes cuisses. Je crois que je suis en train de crier. J'attrape ma bite, je la sors à moitié de son cul, j'appuie dessus, je la tiens dans une main, serre ma verge alors que je jouis. Il n'y a plus que mon gland qui la pénètre encore. Je sens plusieurs grosses giclées parvenir à trouver le chemin le long de ma verge que je sers.
Je me retire alors que du sperme s'échappe encore. Elle approche aussitôt sa bouche pour le récolter. Elle me lèche, avale mon sexe. Du sperme s'écoule encore, sans que je comprenne bien pourquoi. Elle en a autour des lèvres. Qu'elle lèche. Elle me regarde. Elle sourit.

- Prêt à recommencer ? J'ai encore envie me dit-elle.

Heu...

[Bertrand Morane]

Pareil.

C'était bien bon. 

[abby]

merci pour ce moment très excitant...
ça me donne des envies pour ma sieste crapuleuse....
Vous écrivez drolement bien tous les deux..
On s'y croirait.

[alb.al]

Je te reconnais bien là ma chère !!!