c'est bien quand même de pouvoir bouger dans son travail
aujourd'hui en fin de journée je devais passer voir une assistante avec qui j'avais travaillé, pour faire les comptes. hop je lui file son cheque ce fut vite fait
elle travaille dans un studio photo aujourd'hui , en bref ça virevoltait de partout
le shoot venait de finir
moi je buvais un p'tit verre ( coca au fait ) en fumant une cloppe
a regarder l'équipe qui range et se prépare a rentrer chacun chez sois
"excusez moi . . . "
(demi tour droite) ouiiii mademoiselle ?
" vous n'auriez pas du feu ?"
mais si bien sur . . .
une charmante brune un casque de moto à la main, plutôt jolie
(le plutôt est chez moi en ce moment a 42 sur l'échelle de Richter qui compte 12 niveau )
on discute un peu, on échange des sourires
le bla bla habituel ( tu fais quoi tu bosses ici ? etc . . . )
puis elle s'éloigne retrouve une copine et je les vois prendre le chemin de la sortie
j'ai au passage le plaisir de voir que . . .hum hum son jean la met vraiment en valeur .
je tourne la tête et retourne à mon public-relation
bavardage et autre
15 min plus tard je prend ma veste et mon sac et je décide de rentrer
je sors du studio et tombe nez a nez avec la demoiselle en question
qui allait enfourcher son bolide
elle me regarde en souriant et me demande ou je vais
je lui dis
et elle me tend un casque sorti des soutes
"aller je te dépose ! !"
moi ravi je ne refuse pas
elle s'installe
et moi de m'enfourcher derrière elle
ceux qui ont déjà été passager connaissent le dilemme de "l'accrochage" châssis ou conducteur . . . .
elle ne m'a pas laissé le choix en me montrant sa taille et me disant de m'accrocher .
je passe donc mes bras autours de sa taille
main nues car je n'ai pas de gants
démarrage en trombe qui fait que je m'agrippe a elle pour ne pas finir le cul par terre on roule un peu je ne relâche pas mon étreinte la miss a une conduite musclée
pour préserver les convenances je me suis assis loin ( 5 cm) derrière elle, histoire de ne pas jouer les importun
a un feu la miss se redresse et pose ses mains sur les miennes
d'un geste rapide elle soulève son blouson et y pousse mes mains
le feu passe au vert elle redémarre sans un mot.
je me retrouve au contact de son ventre de sa peau
quelle chaleur quelle douceur
timide au début je commence a lui caresser le ventre
une main sous son blouson
une main sur le réservoir
plus je la caresse plus je sens ses fesses qui recule et viennent se coller a mon intimité
je ne fais plus attention a la route depuis un certain temps
ma main remonte le long de son ventre et j'arrive a la base de ses seins
là ses fesses sont littéralement collées a moi
limite si je ne sens pas la chaleur qui commence a émaner de son entre-jambe
elle ne porte pas de soutif
je remonte encore entre ses seins
hummmm divine caresse
pour ensuite me rapprocher de ses tétons
ils sont durs
je ne sais pas combien de temps cela a duré mais a un moment le moteur s'est arrêté
nous étions collés l'un a l'autre
j'ai levé la tête
regardé alentour
personne nous étions dans un parking presque vide
j'ai continué a la caresser
a deux main cette fois
elle a frissonné quand ma main si froide a touché sa peau si chaude
je caressais ses seins a pleine main, elle a ouvert son blouson
j'ai encore mon casque
elle me caresse les cuisses
il va de sois que . . . comment dire . . . . la bosse de mon jeans correspond et se colle de plus en plus a celle de ses fesses
je quitte ses seins un instant pour retirer a mon tour ce casque qui m'empêche de goûter sa peau , ses lèvres
elle se colle a moi pose sa tête sur mon épaule mes mains reprennent la direction de sa poitrine j'embrasse son cou
j'écarte son top pour pouvoir goûter son épaule, j'y plante mes dents
elle gémit
ma main descend jusqu'à sa ceinture je la défais et ouvre un a uns les boutons de son jean
je glisse une main dans sa culotte elle se penche en arrière pour me laisser le passage elle est chaude, humide moi je suis au bord de l'ébullition
je la caresse la fait onduler un peu avant de la pénétrer de glisser un doigt puis deux en elle
elle tourne la tête
son visage vers le mien
nos regards se croisent
je l'embrasse a pleine bouche
tout en la soulevant presque de ma main, tellement j'ai envie de la faire jouir elle passe ses mains dans son dos et s'attaque a ma ceinture puis , comme je l'ai fait , aux boutons de mon jeans
elle prend ma queue a pleine main commence a me branler
le contact de ses doigts sur ma verge me met au bord du gouffre
de sa main libre elle prend le poignet de ma main enfoncée dans sa culotte et la retire doucement je me laisse faire elle s'écarte de moi et se lève sur les cale-piedsje caresse ses fesses qu'elle m'offre
d'abord a travers son pantalon et puis elle le baisse et dévoile ce cul que j'admirais plus tôt, il est vraiment aussi beau au naturel que dans ce jean
je le caresse je l'embrasse
je passe une main entre ses jambes et continu de la caresser
elle se cambre
et me laisse découvrir ses lèvres humides et cette étoiles que j'ai envie d'embrasser de lécher
elle s'agrippe au guidon de sa moto et moi je plonge mon visage entre ses fesses
d'un doigt je la caresse et de ma langue je l'explore
j'aime son goût, sa cambrure ses lents mouvements pour coller encore plus son postérieur à mon visage, je malaxe ses fesses
puis ma main libre remonte vers ses seins a qui la gravité donne un galbe
parfait au bas duquel ses tétons pointent, durs quand je les effleure .
"prend moi . . ." ce sont les premiers mot qui résonnent depuis qu'on a quitté le studio, et ils sortent de sa bouche . . .
surpris je marque un temps d'arrêt mais pour reprendre de plus belle
ma langue d'exploratrice devient inquisitrice, je me fait plus pressant je m'enfonce en elle
pendant que mes doigts s'occupent devant, ma langue fouille derrière.
elle gémit doucement, se tend
la ligne de de nos corps passe par ses bras sur le guidon de sa moto et finit a l'arrière de ma tête.
après l'avoir explorer je décide de suivre sa requête, qu'elle n'a pas reformulée depuis, mon exploration anale a semble lui plaire et repousser son désir de me sentir en elle.
je me dresse donc à mon tour sur les cale-pieds, elle se penche et se cambre de plus belle me tendant son cul et sa chatte inutile de dire que cette raideur si . . . masculine ne m'a pas quitté je serais même tenté de dire qu'elle a empiré, a la limite de la douleur.
je baisse légèrement mon pantalon autant que peux le permettre le fait que je suis a califourchon sur une moto ma queue et mes couilles entrent en contact avec sa croupe, j'aime cette douce chaleur ; je la fais glisser entre ses fesses, en équilibre
je sort un preso de ma poche et l'enfile vite
j'ai trop envie d'être en elle de sentir ses lèvres entourer , happer, ma verge
je la prend par les hanches et je la pénètre doucement je sens sa chaleur m'envahir elle est douce et étroite.
ses fesses claquent contre mon ventre
ma main retrouve le réservoir de la moto pour ne pas l'écraser de tout mon poids juste la pénétrer aller et venir en elle
je ne sais pas combien de temps cela dura mais ce fut la première fois qu'un orgasme simultané fut aussi intense . . . .
on s'est écroulé sur la selle
je l'ai prise dans mes bras elle les a serrer contre elle je n'avais plus envie de rien juste que ce moment dure une éternité.
je l'ai embrassé dans le cou sur le coté du front
j'ai mordillé son lobe d'oreille
je ne voulais plus la laissé partir
après quelques minutes d'intense silence et d'étreinte elle s'est levée pour remettre son pantalon refermer son blouson puis remettre son casque
elle m'a regardé avec un sourire
" je te ramène . . . cette fois ?"
j'ai dis oui, en me réajustant j'ai remis mon casque
on est repartis
je me suis accroché a elle comme jamais
elle avait mon adresse, enfin le nom de la rue
elle m'a déposé
juste le temps d'un baisé
elle m'a tendu sa carte
un sourire , mon dieu ces yeux ! ! !
appel moi !!
je lui ai dis oui dans le bruit pétaradant de sa moto qui démarrait
je me demande quand est ce que je la reverrai. . . .