Libido ...

[Petite Sorcière]

Ma libido...elle est toujours là et pour l'instant elle tient également mon mari. Comment dire certains termes ont changé...je fais des pipes et non des fellations...il faut dire qu'avec un beau fils qui est présent 24 sur 24, la petite baise sur le canapé est bien s'est terminé !!!
Il est vrai que le côté explosif, imaginaire, délire me manque parfois...bon  il m'arrive de me caresser encore lorsque mon mari est au tir !! et oui ...
Elle commence à me démanger sur un autre plan et je crois que mon mari ne va pas être déçu...avec lui c'est petit à petit iiih ihh malgré qu'il a la grosse ...tête en pensant qu'il m'apprend la sexualité...
Je suis toujours aussi gourmande et heureusement qu'il assume...Il sait que si je n'ai pas "mon coup" et bien je suis odieuse.
Par contre, nos rapports sont plus pépères...Attention, il n'a pas intérêt de se vider les couilles....la seule fois où j'ai eu cette impression il y a 15 jours parce qu'il devait partir tôt, nous allions être trois à vouloir occuper la salle de bain..il a entendu parler de ce coup foireux...d'ailleurs il a été vexé lorsque que je lui ai signalé qu'on ne se vide pas les couilles !!! et pour me punir...interdiction de sexe pendant 8 jours....Au bout de deux jours, nous n'avons pas résisté....

[Cruella]

j'suis encore en jeune non-couple .. donc, la question ne m'inquiete pas pour le moment.

Est ce que le fait de ne pas vivre avec mon homme fait que lorsqu'on est ensemble, on sexe tous les jours ?
Possible.
J'ai un côté peut etre très masculin, je ne sais pas si on en a déjà parlé ici, et j'avoue que je n'ai pas cherché ..
c'est que quand je dors avec mon homme, je ne peux m'empecher de me coller contre lui, et tenir son sexe dans ma main ... Inévitablement, il bande, donc ...  on baise, ou on fait l'amour ....

Ce qui me stimule le plus ? le voir se déshabiller, toucher sa peau.

Ceci dit, j'en reparlerais p'te dans qques années quand les conditions ne seront plus les mêmes.
Le monde où nous nous sommes rencontrés (cad libertinage) ne nous interesse pour le moment plus. Même si nous sommes tjrs exhib. Mais depuis que je me suis reconnue être amoureuse de lui, je n'ai plus jamais rencontré quique ce soit qui m'inspire du désir. Et je ne cherche même pas à m'en soigner.

Nous dialoguons bcp, parce qu'un temps, namour avait qques pannes ... C'est avec le dial que çà s'est arrangé.
Bref, dans ma vie actuelle, ma libido va très bien 

Faut dire aussi que nous n'avons pas d'enfants. Enfin, y'a mini moi, mais, comme elle a accepté T. comme joli-papa, çà ne lui pose aucun soucis que sa maman ait une sexualité.
Quand je dis que nous n'avons pas d'enfants je précise que nous n'avons pas d'enfants à nous, qu'il faut materner et tout avant d'aller se mettre au lit.

[vette]

Je n'ai jamais connu la lassitude sexuelle de l'autre. Au contraire.
Pour moi, la sexualité est un chemin ascendant, qui s'améliore au fur et à mesure que l'on connait le mieux l'autre et que l'on continue à se découvrir soi-même.
C'est la rencontre de deux imaginaires infinis qui n'auront jamais assez de toute une vie pour expérimenter tout ce qu'ils sont capables de concevoir.
Les stimulants sont multiples. Textes, images, films, situations.  Mais surtout toutes les idées qui me viennent à l'esprit ou qui viennent à l'esprit de l'autre et que j'ai envie de mettre aussitôt en pratique.
Si la fatigue ou les soucis ont pu parfois ralentir la fréquence de mes envies, ils l'ont ont aussi parfois stimulée.

Ce qui est capable de plomber ma libido, c'est mon désamour de l'autre, les rancœurs, les incompréhensions et les différends.

Je ne me suis jamais lassée d'une peau, d'une odeur, d'un contact. Un peu comme si l'excitation venait aussi de la mémoire du plaisir.

[Célimène]

Ma libido fluctue de mon propre fait, je veux dire que c'est rarement lié à l'autre (sauf pendant cette période où le désamour et le dégoût peuvent se confondre, enfin chez moi, je ne sais pas si ça fait ça à tout le monde).

La baisse de libido est généralement très liée à la fatigue ou aux tracasseries diverses qui font que je n'arrive pas à débrancher mon cerveau. Du coup, il m'arrive de me forcer un peu dans l'espoir que ça me permette justement de déconnecter, et miracle, parfois ça marche  .

Quant à la stimulation, je suis peu réceptive aux images mais davantage aux écrits, à une voix ou à mon imagination.

[ktycash]

Je suis tout à fait d'accord avec ça, c'est bien ce que je dis.

Avoir des envies sexuelles cohérentes au départ, évidemment un ciment du couple.

Découvrir et explorer ensemble ses limites, se lâcher, c'est le principe de l'intimité, sexuelle ou autre.

Aller toujours plus loin / plus exotique, par principe, comme lutte contre l'ennui, je ne suis pas convaincu.

(mais j'ai bien le sentiment d'être en minorité ici...    )

+1

[ktycash]

Je n'ai jamais connu la lassitude sexuelle de l'autre. Au contraire.
Pour moi, la sexualité est un chemin ascendant, qui s'améliore au fur et à mesure que l'on connait le mieux l'autre et que l'on continue à se découvrir soi-même.
C'est la rencontre de deux imaginaires infinis qui n'auront jamais assez de toute une vie pour expérimenter tout ce qu'ils sont capables de concevoir.
Les stimulants sont multiples. Textes, images, films, situations.  Mais surtout toutes les idées qui me viennent à l'esprit ou qui viennent à l'esprit de l'autre et que j'ai envie de mettre aussitôt en pratique.
Si la fatigue ou les soucis ont pu parfois ralentir la fréquence de mes envies, ils l'ont ont aussi parfois stimulée.

Ce qui est capable de plomber ma libido, c'est mon désamour de l'autre, les rancœurs, les incompréhensions et les différends.

Je ne me suis jamais lassée d'une peau, d'une odeur, d'un contact. Un peu comme si l'excitation venait aussi de la mémoire du plaisir.

Moi si... quand ma perception de l'odeur de l'autre change : je n'aime plus

[PatrickH]

Pour moi, la sexualité est un chemin ascendant, qui s'améliore au fur et à mesure que l'on connait le mieux l'autre et que l'on continue à se découvrir soi-même.
...
Je ne me suis jamais lassée d'une peau, d'une odeur, d'un contact. Un peu comme si l'excitation venait aussi de la mémoire du plaisir.

Là, je me retrouve complètement dans ces deux idées ! 
Merci à Vette et à sa sagesse...

[LPF]

Aller toujours plus loin / plus exotique, par principe, comme lutte contre l'ennui, je ne suis pas convaincu.

(mais j'ai bien le sentiment d'être en minorité ici...    )

Non, pas sûr du tout que tu sois une minorité, sur ce coup-là.

Le "par principe", je trouve ça crétin: la justification du bien-fondé d'une chose par sa nature elle-même et non par ce qu'elle apporte, je trouve ça con.

La seule chose qui maintienne ma libido vraiment au taquet, c'est le "possible". Pas l'attendu, le sûr et certain, qui serait avoir le menu avant une dégustation en aveugle. J'aime savoir qu'il peut y avoir de l'impro, du dérapage hors sentiers balisés (avec une base de valeurs sûres, qui est une forme de socle, de fondations). Bon, en même temps, faut bien que ça arrive de temps en temps (sinon c'est comme ne regarder que les pubs d'agence de voyage sans prendre jamais l'avion  ), mais sans que ça en devienne un challenge du "toujours plus haut, plus loin".

[Valentine]

Moi si... quand ma perception de l'odeur de l'autre change : je n'aime plus

+1 avec le pinguoin

[Marsup]

+1 avec le pinguoin

Quand il pète tout le temps par exemple 

[LPF]

Quand il pète tout le temps par exemple 

Patrick Sébastien, sors de ce corps! 

[ktycash]

Quand on est amoureux, on trouve parfois que l'autre pue sauvagement bon... quand on trouve qu'il pue tout court... c'est que l'on a plus la magie...

[mescalero]

Quand on est amoureux, on trouve parfois que l'autre pue sauvagement bon... quand on trouve qu'il pue tout court... c'est que l'on a plus la magie...

C'est quand on cesse d'idéaliser l'autre, de rêver ...

[vette]

Quand on est amoureux, on trouve parfois que l'autre pue sauvagement bon... quand on trouve qu'il pue tout court... c'est que l'on a plus la magie...

Je n'ai jamais été amoureuse d'un homme dont l'odeur ne me plaisait pas. Je n'ai donc pas eu besoin d'idéaliser quoi que ce soit à ce niveau.
Là, je ne suis plus amoureuse de mon homme, mais j'aime toujours son odeur.
Là encore, l'odeur stimule la mémoire du plaisir, à défaut du plaisir lui-même.

[ktycash]

Non je t'assure que ma perception de l'odeur change... Peut être que j'associe la même odeur à plus de moments malheureux qu'heureux... Je n'aime plus.