Pourquoi pas ?

[darkalex258]

Hier soir, lorsqu’elle m’a rejoint dans la chambre, je l’ai trouvée particulièrement désirable et une immédiate réaction a fait frémir mon corps tout entier en la regardant se déshabiller. Elle le faisait lentement, parfois un peu maladroitement, m’ignorant presque, sans me regarder comme dans une routine dont on arrive plus à se détacher après pas mal d’années de vie commune.
Elle s’est délicatement glissée sous la couette, avec pour seul vêtements un teeshirt à manches longues et son string. J’ai horreur de ça, moi qui dors toujours nu comme un lombric, la voir à moitié habillé ne me plait pas mais bon, elle fait comme elle veut du moment qu’elle se sent bien non ?

Comme souvent, elle me tourne le dos, se recroqueville et se blotti contre moi, saisissant mes bras pour que je l’enlace et la réchauffe contre mon torse. Comme souvent, mes mains ne tardent pas à passer sous son teeshirt, pour retrouver la sensation de douceur de ses seins tant attendue pendant une longue journée de labeurs. Comme toujours, je sens ses deux globes fessier se coller contre mon bassin et comme pour toute la vie, cela ma fait l’effet qu’elle est en train de s’offrir à moi, de m’offrir cette croupe si cambrée et tellement tendre, charnue mais assez ferme quand même, enfin, un cul indescriptible que je ne décrirais donc pas. Je me calle contre elle et imagine sa sensation en sentant ma différence physique masculine se caler entre ses fesses, contre le tissus de ce maudit dessous, sexy mais maudit.
La somnolence nous gagne, saleté de Morphée, quand tu nous tiens ! Mais, je sens sa respiration, son corps bouge quasiment imperceptiblement, sa nuque dans une main, un sein dans l’autre, je la caresse. Elle ne dit rien, son corps se réchauffe, elle soupire un peu, j’aime. J’aime ce moment incertain où, l’envie d’elle me taraude mais je ne sais pas si elle va succomber à la fatigue plutôt qu’a mes caresses. Ma main se promène sous son teeshirt, maudit lui aussi, je la calle sous ses seins, repasse dessus, effleure les pointes pour remonter jusqu’à son cou, quand je sens un début d’ondulation de la partie basse de son anatomie.
Je relève un peu son teeshirt, puis complètement, sur sa poitrine. Je ne les vois pas, mais je sais qu’ils sont beaux, ma main le sait. Un baiser dans le cou, un frémissement, je gagne du terrain…

[Camille]

rholololo mais fonce claque la sur le mur  

[darkalex258]

C’est le moment… Le moment où je vais tenter de lui faire ôter ce satané teeshirt trop serré. Je sais que maintenant, elle va le retirer. Elle se redresse, assise sur le lit, et tire ce bout de tissus au dessus de sa tête. Je regarde ses magnifiques seins, avec ses bras tendus vers le plafond,  on a l’impression qu’ils vont décoller, la peau se tend, ils se métamorphosent en une sorte de fusée, prête au décollage !
Ce maudit tissu devient une aubaine pour les amateurs de conquête spatiale ou de star trek ! Une chance inouïe et totalement inattendue la fait s’empêtrer dans les manches trop longues et trop serrées, sa tête est encore voilée, elle se démène, je m’amuse ! Et c’est là que je me dis : pourquoi pas ?
Pourquoi ne pas profiter de cette situation. Je saisis le tissu pour la coincer définitivement dans cette position qui finalement m’excite. Elle se débat un peu en m’implorant de l’aider, mais je fais tout l’inverse, ça l’énerve. Je saisis les manches, les tire un peu pour gagner la place de faire un nœud. Elle comprend vite ma démarche et son ton énervé change pour un ton plus amusé, je la recouche avec les bras immobilisés au dessus de sa tête puis entreprend de nouvelles caresses qui provoquent de légers frémissements. Elle se laisse faire, amusée et certainement un peu excitée. J’aime ce teeshirt…

[darkalex258]

Il faut s’imaginer son corps allongé sur le lit, tout du long, jambes tendus, avec ce nœud de bras au dessus de la tête et cette ridicule petite culotte coincée entre ses cuisses pour comprendre mon état d’excitation à ce moment là. Mais je ne veux pas m’arrêter là. Je veux aller plus loin, je veux l’immobiliser encore plus pour profiter de son corps sans aucune gène. Elle ne me voit pas et ne peut plus beaucoup résister. En a-t-elle envie d’ailleurs ?
La ceinture d’un peignoir fera très bien l’affaire. Je la saisis et la noue aux manches du ce providentiel teeshirt pour l’attacher à un pied du lit, elle me demande ce que je fais, et pour toute réponse reçoit un shuut, accompagné d’un baiser sur le sein droit. Je reprends mes douces caresses, je la veux excitée, je veux qu’elle ait une envie furieuse que je la prenne, je veux qu’elle ait besoin d’un coït, qu’elle le réclame. Elle qui ne parle jamais quand nous faisons l’amour… Je ne cèderai pas cette fois, il faut qu’elle en crève d’envie.
Mes doigts la frôlent, passent délicatement sur son corps. Elle tremble un peu, elle bouge sous les caresses et se tortille un peu lorsque je touche ses jambes, elle n’aime pas trop, je ne sais pas pourquoi, mais elle n’aime pas qu’on lui touche les jambes. Mes doigts suivent le contour de ses seins puis descendent vers son bassin, son string. Je suis l’élastique, passe doucement mes doigts dessous pour atteindre sa toison que j’aime tant, elle se cambre un peu. Je sais ce qu’elle voudrait, maintenant, tout de suite, mais je ne suis pas pressé. J’effleure son pubis à travers le tissu, et passe une main entre ses cuisses pour l’inviter à s’ouvrir, elle s’ouvre.

[darkalex258]

Je la couvre de baisers, certains plus humides que d’autres, je titille le bout de ses seins du bout de la langue. Ma langue descend le long d’une ligne partageant son corps de haut en bas, en passant par le nombril, s’arrêtant  à la bordure de sa culotte. Elle peut sentir mon souffle sur son ventre, je m’allonge entre ses jambes pour admirer l’objet de ma conquête. Elle ne peut plus refermer les jambes, elle est offerte, elle est à moi. Je caresse ses lèvres avec mon nez, poussant un peu le tissu, humant son parfum. Cette odeur m’enivre, ça me donne envie de la gouter mais pas tout de suite…
Elle se cambre pour se rapprocher de mon visage, de mon nez et ma bouche qu’elle désire maintenant. Elle veut me faire comprendre qu’elle voudrait que je lui ôte sa culotte, pour la dévorer. Mais maintenant, elle me plait cette culotte, je ne veux plus la lui retirer, et dans l’instant, c’est moi qui décide. Mes mains passent sous ses fesses pour lui faire prendre une pose un peu plus indécente, pour la voir bien tendue et demandeuse. Je vois la forme de ses lèvres sous le satin. Je ne résiste pas et donne quelques coups de langue qui lui arrachent des gémissements d’envie.  Il devient un peu transparent,  est-ce moi ou elle qui l’humidifie comme ça ? Au gout, je dirais surement un peu des deux. Quel gout magnifique ! J’en voudrais plus et elle aussi, mais j’en ai décidé autrement,. Je me relève un peu, et délicatement, lui fait passer le tissu entre les lèvre, en les étirant un peu,, le faisant presque disparaitre avant de la retourner pour faire de même entre ses fesses. Elle se laisse faire, se cambrant même un peu pour m’aider. Cette fois, il disparait totalement entre ses fesses, je m’amuse un peu avec, les écartes, puis les resserre, je tire un peu la culotte vers le haut, l’obligeant à se cabrer un peu plus. Elle est presque à genoux, la tête coincée dans son teeshirt, contre l’oreiller. Elle est excitée, elle a envie de moi mais pas encore assez pour réclamer ou demander quelque chose. Une claque s’abat sur ce cul si blanc, elle pousse un cri de surprise. Mais ça va pas non ?
Une deuxième claque : tais toi, tu n’es pas en position pour râler. Elle tente de resserrer les cuisses et de se retourner, il va me falloir plus de moyens ! Plus assez de peignoir pour récupérer les ceintures, que faire Idée saugrenue mais bon, système D, je pars chercher du scotch d’emballage et, oh surprise, la retrouve dans la même position à mon retour.

[Camille]

 

[darkalex258]

Deviendrais tu docile ?
…
Une douce caresse sur sa croupe : Alors ?
…
Petite claque sur chacune de ses fesses : Alors ?
(grognement)
Je ne crois pas avoir compris, deviendrais tu docile ?
Grrrr oui
Je remonte ses genoux sous son ventre en les écartant bien. La vue est splendide comme ça. Le tissu est toujours coincé tout le long de sa fente, ses lèvres gonflées de désir.
Je les caresse, elle s’ouvre encore plus. Je flatte sa croupe, passe mes doigts dans sa raie. Je l’admire, mais ses fesses sont encore un peu trop blanches à mon gout. Quelques petites fessées remédieront parfaitement à ce défaut. Elle ne bouge pas au début, mais au bout d’une dizaine de claques sur chaque fesse, elle commence à se tortiller et à gémir.
Ne bouge pas !
Je recommence jusqu’à entendre des râles et voir apparaitre de jolies auréoles rondes et rouges sur ses fesses. Je tâte son entre cuisses, elle est trempée !
Tu as l’air d’aimer ça on dirait !
Grrrr, pas plus s’il te plait !
Tu as envie n’est-ce pas ?
Ouiiiiiii
Envie de ?
….
Envie de fessée
Nonnnn ! Fais-moi l’amour
Si je veux…
Je saisis le scotch : pas tout de suite, désolé, mais l’occasion est inespérée. Je fais quelques tours d’adhésif autour d’une cuisse et tibia puis fais de même de l’autre coté, je finis en immobilisant ces cuisses qui ressemblent à des cuisses de poulet bien écartées en passant la bande autour de sa taille.
Il va falloir me le demander bien plus gentiment si tu as envie d’être prise comme une petite chienne en rut !
….
Ok, je vois que tu n’as pas compris. Je reprends une série de fessées.

[darkalex258]

S’il te plait !!
Ce n’est pas assez
Prends-moi !
Mieux que ça
BAISES MOI !!!
C’est mieux oui…
Je touche son intimité, je sais qu’elle en peut plus, elle coule d’envie !
Mais que veux-tu à la fin !!!!
Ah mais rien de spécial dis-je en libérant cette pauvre culotte qui n’avait rien fait en la descendant sur ses cuisses, juste que tu me demande d’avoir l’obligeance de bien vouloir te faire l’honneur de te baiser, ah oui, aussi, que tu me dise que tu es une petite salope qui crève d’envie de se faire culbuter, c’est bien aussi ça.
T’es dingue !
Possible, si tu le prends comme ça… Je remonte sa culotte, la re coince dans sa fente, et passe au salon, le temps d’en griller une. La vision de sa croupe tendue et offerte à mon retour attise mon excitation, j’ai envie d’elle !
Donc on en était où ? Commençons par le début, qu’est-ce que tu es ?
S’il te plait, fais-moi l’amour !
Une claque assez puissante lui arrache un cri : tu es ?
Murmure : une salope
Oui, enfin ma salope
Oui
Et tu veux ?
Que tu me baises
Donc, reprends la phrase
Je suis ta salope et je veux que tu me prennes !
Eh bien c’est mieux !! Tu vois ? Rien de bien compliqué !
Je relève son teeshirt pour voir son regard, elle est furieuse, j’approche mon sexe de son visage, machinalement et à ma grande surprise, sa bouche s’ouvre, je m’engouffre sans ménagement.
Commence alors de longs va et vient dans cette caverne chaude et humide, pendant qu’un doigt s’insinue entre ses fesses pour pénétrer son petit trou serré et défendu. Elle grogne mais ne résiste pas longtemps, il rentre plus loin, et commence aussi à bouger en elle, elle suce avidement, elle aime. La tension est à son comble, je ne tiendrais pas longtemps à ce rythme là ! Je me retire précipitamment pour venir me placer derrière elle. Pourquoi pas… Et oui, c’est trop tentant.

[lolokikou]

Ah ben j'aime bien... 

[missmalefoy]

 

[Camille]

 

[Valentine]

tu racontes bien 

[Dr. Ruth]

et maird ! c'est pas ce soir que je fais rhhhaaa 

[vette]

La suite, la suite.

 

[winy]