Rentrée. Punaise j'y croyais plus
La conversation d'une trentaine de minutes avec le monsieur qui gère mon compte (très gentil, au passage) m'a épuisée.
J'ai craqué. Bah oui. C'est un tout petit peu humiliant et très étrange de parler de tout ça à un collègue.
Alors j'ai pleuré. Ils sont apparemment rompus à ce genre de conversation, ce qui me fait dire que pas mal d'autres de mes collègues sont aussi dans la merde.
Mais j'ai pleuré aussi parce que j'ai été entendue. Fini le conflit, place au dialogue.
Ils ont fait un geste, que j'apprécie. Je crois, maintenant, que je ne demandais rien de plus qu'un effort mutuel.
Je suis soulagée je vous raconte pas.
C'est pas fait encore mais la fin de l'année s'annonce sous de meilleurs jours.
Et maintenant, comme j'ai mis vachement de temps à rentrer, y a plus une place donc j'ai dû me garer hyper loin et je suis pas sûre d'avoir éteint mes phares. Et même si je sais que ça aurait bippé si je les avait oubliés et bah ça m'obsède et j'ai une flemme de malade de ressortir