La pauvreté, pour certains, c'est juste un chiffre, 50% du revenu médian.
Pour d'autres, c'est une réalité, mais ces-derniers n'ont pratiquement jamais la parole, d'ailleurs ils ne vont même pas voter.
Donc, la pauvreté ne sera toujours qu'un chiffre.
Qui, parmi les "décideurs", a un jour eu faim, sans pouvoir régler le problème en allant dans un bon restaurant ?
Bon, pour les autres je ne sais pas, mais moi tu me casses les couilles avec tes jérémiades.
Pour quelqu'un qui en a les moyens (je m'inclus), aller au resto n'est pas une activité honteuse, au contraire, ça fait circuler l'argent, ça donne du boulot aux autres.
Je vais pas avoir honte de dépenser mon fric, que je gagne en bossant, après avoir bossé pendant mes études aussi.
Je pourrais l'épargner pour assurer la belle vie à mes gosses, ce serait moins ostentatoire, mais ça ne ferait bouffer personne pendant que ça dort.
Et oui, je préfère confier les rênes de l'Etat à des gens qui ont fait la preuve avec leur vie personnelle qu'ils sont vaguement capables de faire face à leurs responsabilité, et de produire de la richesse.
Plutôt qu'à des gens qui non seulement ne gagnent pas de pognon, vivent globalement aux crochets de la société, et passent par surcroît leur temps à râler que c'est la faute des autres, bonjour le leadership naturel...
En d'autres termes, Mescal, désolé, mais je vais pas voter pour toi à la présidentielle.
Tu es tellement amer et critique et revendicatif, on croirait que tu es encore prof...