Vendredi dernier après-midi, réunion au sommet (enfin, un petit sommet où je suis invité, genre les Vosges ou le Massif Central, quoi), lancement du gros projet de la mort après un an d'attermoiements.
Résultat : on est méga à la bourre pour tenir les délais, et après rétro-planning, on a donc : un an pour que les chefs décident, un mois pour que les lampions exécutent (et là, paf, moi je suis dans les lampions sur ce coup, Vosges ou pas).
Première fournée de boulot énoooorme à rendre pour mercredi soir, là tout de suite après-demain.
J'ai hurlé que c'est un scandale, on se fout du monde, c'est absolument impossible à tenir, il va falloir bosser tout le week-end, c'est une honte.
Mais quand je hurle au boulot, ils ont tellement l'habitude, tout le monde s'en fout.
Bon, j'ai pas bossé ce week-end, d'abord ça me faisait chier, et pis j'étais en colère, d'abord.
Je suis juste venu ce matin un peu plus tôt que d'habitude, ohlalalala c'est vrai y'a du boulot.
A 9h30, j'étais devant l'ordi, bon faut y aller, café fumant, neurones prêts à fonctionner.
A 11h j'avais fini.
Maintenant faut que j'attende mercredi pour tout envoyer, sinon je vais avoir l'air con.
Et faut que je fasse super semblant d'être débordé d'ici-là.
Merci de démarrer des fils Nuts super-intéressants en conséquence.
Il faut que mon clavier crépite à mort, je ne peux pas quitter mon écran.
Merci d'avance.
Please.