Aller, pour la 24685436898654580978ième fois....
Ca existe déjà via la délégation cf loi cité plus haut.
Oui et non. Tiens, en relisant le truc, j'ai un GROS doute sur la continuité de l'autorité parentale pendant la délégation:
(fin de la délégation)
"Les parents peuvent saisir le juge aux affaires familiales
afin de se voir restituer leurs droits s'ils justifient de circonstances nouvelles. "
Pour moi, je lis que ça veut dire qu'ils n'avaient plus leurs droits. C'était donc un transfert et non un ajout (renonciation au profit d'un tiers).
Un avocat dans la salle siouplait?
Oui et donc, j'entamais 2 procédures dans mon petit cas à moi que j'ai...
Wahhhhhh! Quelle avancée!
J'imagine un principe, et toi tu me claques une procédure (forcément inexistante puisque la loi régissant le principe, ou plutôt l'idée, que j'évoque)...
Et là, non, toujours hors de question pour moi. Je pense, malheureusement, qu'en effet, tant que tu ne seras pas dans une situation de divorcé avec enfant (je te le souhaite pas hein...), tu auras bcp de mal à imagnier la vie que ça représente, sourtout pour les enfants...
Mais je ne cherche pas à TE convaincre de quoi que ce soit! Et j'ai bien compris que tu ne souhaitais pas voir la création d'un statut légal de beau-parent.
Moi j'essaie juste (et je ne sais pas si tu as vu les modifications de ma vision de la chose depuis les interventions de tout le monde, y compris les tiennes) de dire que de mon point de vue (images du monde) il me semblait logique de créer un statut légal de beau-parent (vu le nombre de personnes dans ce cas)
(1), et de sérieusement réfléchir à ce que ce statut imposerait comme droits et devoirs.
Si tu mets la charrue avant les boeufs en imaginant ce que les droits (qu'on a à peine esquissés en parlant d'autorité parentale et d'héritage) leurs confèrent, et utiliser ces droits fictifs comme arguments pour virer
manu militari cette idée de statut, alors là...
Bref, je remballe mes arguments, c'est lassant de d'écrire 50 fois la même chose.
Bah disons qu'écrire 50 fois la même chose n'a jamais fait avancer le débat...
(1) Eu égard au chiffre du million de personnes dans ce cas, sur 65 millions, ça fait quand même 1,5% de concernés. Pour comparaison, il y a environ 2 millions de handicapés reconnus administrativement (en 2009).