je vais repartir dans ma théorie bizarre à l'appui de ce qu'écrit Hot : on attire au moment voulu la personne qu'on a besoin/envie (avec un bémol pour l'envie) de croiser.
Les gens que l'on rencontre et qu'on interesse et vice versa ce n'est pas anodin.
Je vais illustrer par un exemple récent que je trouve rigolo : ma cops de Mayotte qui me dit qu'elle voudrait trouver un petit job, éventuellement à la bibliothèque. Autre conversation, on parle de mon premier copain que j'aimerai retrouver pour savoir ce qu'il est devenu. A noter qu'elle le connaît aussi. Je retrouve le gars sur facebook et il se trouve qu'il est bibliothécaire à Mayotte.
Le hasard à bon dos, mais je n'oblige personne à penser comme moi que ces faits sont l'illustration qu'on attire ce dont on a besoin/envie. Après on saisit les opportunités ainsi créées ou pas. Mais les choses se mettent en place dès lors que l'on est "acteur".
Alors oui, et non.
J'ai entendu ce matin un chercheur qui parlait d'une étude très scientifique sur la chance et les chanceux (vendredi 13 oblige). Et ben la chance, ça se provoque. Ca reste du hasard, mais par "provoquer la chance" il parlait de "créer les conditions pour".
Et ça allait de "élargir son cercle relationnel", "ne pas se cantonner à la routine", "avoir une attitude positive" etc etc... Bref, voir le verre à moitié plein et pas à moitié vide.
Et ça ok, je suis convaincu qu'on peut bosser là-dessus.
Maintenant, le "forcer le hasard" au sens de "ce que je fais va influencer le grand hasard cosmique", autant:
- pisser dans un violon
- filer du flouze à Rinalda
- parier sur l'équipe de France de Foutebol
- croire en Raël
Et pour rebondir à nouveau sur le Doc (désolé hein!):
je vais repartir dans ma théorie bizarre à l'appui de ce qu'écrit Hot : on attire au moment voulu la personne qu'on a besoin/envie (avec un bémol pour l'envie) de croiser.
C'est, à mon sens, plutôt "on remarque lesdites personnes". Si on n'ouvre pas ses noeils et ses zesgourdes, bref, si on ne se met pas en situation de, on verra rien, on passera à côté. Mais ça n'empêchera pas que le hasard que la ou lesdites personnes passent dans le coin reste purement fortuit, ou en tout cas à cause de choses totalement indépendantes de ta volonté.
J'suis bien tombé sur une copine d'enfance en plein Carnaval de Venise... genre voyez le monde? Bah poum. Mais si elle ou moi avions été, à ce moment là, absorbés par la rédaction d'un sms, par exemple, et pas à regarder les gens dans la foule, on ne se serait jamais remarqués:
1- Action délibérée: ouvrage d'oeil
2- Hasard total: qu'on soit au même instant au même endroit (et ce dans un rayon de 2m, au-delà on se serait pas remarqués)