Pour détromper les mauvaises langues (vous êtes nombreux à vous sentir visés ?
) qui semblent voir dans mon comportement comme une overdose latente vis-à-vis de la gente masculine
, je vais vous raconter une petite anecdote
(qui passe bien dans le thème Chronique d'une vie)
Il était une fois ... MOI ...
(forcément !) à 20 000 lieues de la veuve éplorée (déjà dit), heureuse de récupérer sa vie et de pouvoir profiter de son célibat (autrement dit excitée comme une puce à la perspective de pouvoir à nouveau s'envoyer en l'air librement - j'imagine que je ne choque personne
).
Soirées bien arrosées, sourire aux "lèvres" (no comment...), humeur joyeuse, et tatoué sur le front en surimpression le fameux "à prendre" (puisque c'est bien connu, il suffit de chercher pour ne rien trouver et de ne pas chercher pour récolter
). Arrive le bô mâle (selon votre définition du quart d'heure américain
), l'exemplaire à ne pas rater, l'étalon version germanique (et oui, moi aussi j'suis expat'). Miamm. Bon bref, j'abrège ! Je ramène le steak à la maison, je le déguste, il me déguste, et là, paff ! le préso qui claque
Résultat : obligée de courir après les tests (ceux qu'on connaît tous), d'attendre les résultats, de réfléchir à la pilule du lendemain, et j'en passe
Vous avouerez que dans le genre "tue-l'amour" ou en l'occurrence "tue-la-baise", on ne fait pas mieux ! Et j'avoue, ca m'a un peu refroidi dans mon élan d'épicurienne
Et l'histoire a une suite... mais ce sera pour plus tard