Ce que je disais, c'est que tout le monde n'est pas égal devant la dépendance physiologique, du moins c'est ce que les dernières recherches en matière de biochimie cérébrale ont l'air de montrer.
Ca c'est du ressort des psy.
Voilà. C'est tout à fait ça. Et c'est aussi les infos que j'ai eues.
Et c'est aussi pour ça que je trouve inutile, voire dangereux, de faire culpabiliser les gens qui ont une addiction qui les met en danger. Tout expliquer par le psychologique aussi.
Chaque être humain a, à un moment ou un autre de sa vie, un coup de blues, ou une période où il ne se sent pas
trop bien dans sa peau, ou doit faire face à des évènements perturbants ....
Ils boiront un peu plus souvent, peut-être. Ceux qui ont une prédisposition à l'addiction à l'alcool deviendront alcooliques, ce qui n'en ont pas retrouveront un rythme normal dès que leur coup de blues sera passé.
Mais on dira systématiquement des premiers que ce sont leurs problèmes psy qui les ont rendus alcooliques.
Et il y a des fous furieux, des atteints du bulbe qui ne deviendront jamais alcooliques. Il y en a même qui n'aiment pas l'alcool et n'en boivent jamais.
De là à dire que les gens qui n'ont pas d'addiction n'ont aucun problème psy, il n'y a qu'un pas, que je ne franchirai pas.