Loin d'avoir atteint la zénitude Lao-Tseuienne de Ku, il n'en demeure pas moins que je ne parle pas à ma bite, ni ne lui donne de surnom.
En plus, Hercule, ça aurait fait ridicule.
Affligé depuis... pfiou! d'un petit complexe du vestiaire, j'ai toujours été complexé par sa taille. Même si mes aventures homo m'en ont fait côtoyer des de toute taille et de toute tenue.
Et si mes compagnes de couette ne m'ont jamais fait de remarques désobligeantes sur la taille dudit engin (même si je suis certain d'avoir lu quelques lueurs réprobatrices dans quelques conquêtes, qui d'ailleurs n'ont jamais fait long feu, les conquêtes), je m'en suis fait tout seul. Après tout, on n'est jamais si bien servi que par soi-même.
J'ai juste appris à vivre avec. D'façon, on peut point le changer. Autant faire avec!