vette
Marraine : Nana
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« le: 20-11-2008, 23:19 » |
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Il voudrait entrer dans mon esprit, lire chacune de mes pensées. Il voudrait que je lui appartienne, et pourtant il ne m'aime que libre.
Il sait que je peux me donner à d'autres, il le souhaite même, parce que la souffrance qu'il en éprouve lui est délicieuse.
Mais parfois cette souffrance le submerge, et il a un besoin viscéral de me soumettre à son seul désir. J'aime quand ce besoin se fait si fort que le passage à l'acte devient inéluctable.
C'était le cas, ce jour-là.
J'ai compris à son regard que j'allais devoir lui donner bien plus que ce que lui avais jamais donné, me soumettre bien plus que je ne l'avais jamais fait. Quand il m'a ordonné d'aller me changer, pour mettre des bas couture, un porte jarretelles, des chaussures à talons et ma robe noire tellement courte, j'ai baissé les yeux et je me suis exécutée.
Il m'attendait, assis dans son grand fauteuil noir. Il n'a pas eu besoin de parler : je me suis agenouillée devant lui et ai attendu ses ordres. Il m'a longuement regardée, puis il m'a ordonné de me redresser, de me tourner, d'incliner mon buste vers l'avant. Puis il m'a demandé de remonter très lentement ma robe, jusqu'à ce que mon cul s'offre à sa vue. Je ne portais qu'un minuscule string rouge, sur mon porte jarretelles noir, si bien qu' ainsi inclinée, je ne pouvais rien lui cacher de mon anatomie intime. Mais ce n'était pas encore assez. J'ai du baisser le minuscule bout de tissus, prendre mes fesses dans mes mains et les écarter.
- c'est bien, tu es bonne, une vraie salope. Dis-le.
je suis une salope.
- et maintenant, viens me faire ce à quoi tu es bonne.
Il m'a fait à nouveau agenouiller devant lui, puis il a sorti son sexe déjà dur de son pantalon. Il a saisi mes cheveux à pleine poignée, avec une fermeté, presque une brutalité, qu'il n'avait encore jamais employée à mon égard. Il a fourré son sexe dans ma bouche, l'enfonçant jusqu'à la garde. Je m'étranglais presque, mais je me suis appliquée à supporter son gland au fond de ma gorge. J'ai longuement léché toute la longueur de son sexe, m'attardant sur le frein, cette zone si sensible, frottant son gland contre mon palais. Je le regardais dans les yeux, mais il m'a ordonné de les baisser.
c'est bien. Ça suffit, et maintenant, lèche moi les couilles et le cul. T'es une merde, tu n'es bonne qu'à ça.
J'aime quand il m'injurie. Je me sens humiliée comme j'aime l'être. Mon sexe me faisait mal tellement fort était le désir qui l'habitait. Il appelait sa queue de toutes ses forces. Mais il n'était pas question qu'il me donne encore ce plaisir. J'allais d'abord devoir donner bien plus.
Il m'a ordonné d'aller lui chercher un verre de gin, posé sur un plateau, avec du citron, du tonic. Un seul verre ...... Je suis allée le préparer, puis l'ai posé sur la table basse.
non, aujourd'hui, ce sera toi la table.
Il m'a demandé de retirer ma robe, mon soutien gorge. Puis de me mettre à quatre pattes devant lui. Il a posé le plateau sur mon dos, m'interdisant ainsi tout mouvement. Il m'a laissée longtemps dans cette position, prenant tout son temps pour siroter son verre, fumer plusieurs cigarettes.
regarde toi, chienne, t'es prête à tout pour te faire mettre. T'es une vraie pute. Je vais te mettre sur le trottoir et tu tapineras pour moi. Et t'as intérêt à bien faire ton travail si tu veux que je condescende à me salir la queue dans ta chatte.
J'ai aimé rester ainsi devant lui, soumise, humiliée. Mon sexe était parcouru de spasmes de désir, à la limite de la douleur. Ma cyprine coulait le long de mes jambes.
Quand il a eu terminé son verre, il a retiré le plateau de mon dos, et j'ai du à nouveau m'agenouiller devant lui et le sucer encore longuement, tandis qu'il me tenait par les cheveux, imprimant à ma tête un mouvement de va et vient de plus en plus fort, enfonçant sa queue de plus en plus profondément dans ma gorge, à la limite du vomissement, de l'étouffement.
Je l'ai supplié de me baiser, mais j'avais osé parler sans y avoir été autorisée.
Pour ma punition, il m'a ordonné d'aller chercher le martinet qui lui sert à me dresser. Il m'a basculée violemment sur le dossier du fauteuil, et m'a appliqué la plus magistrale fessée que j'ai jamais reçue, alternant les coups donnés avec sa main avec ceux donnés avec le martinet. Je sentais mes fesses rougir, bruler. Mais j'ai aimé cette douleur. Elle était tellement forte qu'elle a fini de gommer en moi toute velléité de pensée. Je n'existais plus que dans mon corps, dans la sensation de n'être plus rien qu'un être physique, entièrement à la merci d'un autre être qui décidait pour moi, pensait pour moi. Je me suis abandonnée complètement à cette sensation et les larmes se sont mises à couler de mes yeux.
C'est ce qu'il voulait. Il aime faire tomber cette dernière barrière de résistance que sont pour moi les larmes.
- pleure, salope. J'aime te faire pleurer. Tu as osé réclamer que je te baise. Tu n'as pas encore compris que tu n'as rien le droit de demander. Tu ne parles que quand je te l'ordonne, tu ne fais que ce que je veux. Toi, tu n'es rien d'autre qu'un trou dans lequel je viens me soulager.
Alors, pour me faire comprendre mieux que je devais me taire, il a enfoncé un mouchoir dans ma bouche, en une boule tellement grosse que mes lèvres en sont restées écarquillées. En même temps, il a enfoncé d'un seul coup son sexe énorme dans mon trou le plus intime, provoquant en même temps une douleur atroce et un plaisir qui me submergeait. Sa main gauche me tirait les cheveux en arrière, tandis que la droite serrait mon cou à m'en couper le souffle.
Il s'est retenu de jouir. Il n'en avait pas encore fini avec moi : il m'a voulue en face de lui, les jambes écartées, m'ordonnant de me masturber. Il m'ordonnait d'arrêter chaque fois qu'il me voyait au bord de l'orgasme, pour le seul plaisir d'augmenter encore ma frustration.
Quand il m'a enfin autorisée à jouir, je suis venue en longs spasmes. Il a joui sur moi, inondant de son sperme chaud mon ventre, mes seins et mon visage.
Presque toute la nuit s'était déjà écoulée, et nous tombions tous les deux de fatigue.
Nous avons regagné notre lit. A sa demande, j'ai gardé mes bas et mon porte jarretelles et c'est en promenant ses mains sur mes jambes qu'il s'est endormi contre moi.
Au matin, j'ai été réveillée par la dureté de son sexe qui s'insinuait en moi. Et c'est ensemble que nous avons joui, en nous disant des mots d'amour.
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