Alors, il m’a prise sur ses genoux et m’a appliqué la plus magistrale fessée que j’aie jamais reçue de ma vie.
A chacun de ses coups, je continuais à répéter Pardon, maître.
J’étais épuisée, mais je sentais monter en moi un nouvel orgasme, différent, plus fort.
Il l’a senti. A arrêté ses coups juste avant que je puisse l’atteindre.
Et puis, il s’est habillé, m’a laissée là, le suppliant de me laisser jouir. Il est sorti en me disant : et maintenant, va te faire foutre.
Alors, j’y suis allée. Mais c’est une autre histoire.
Note : je tiens à votre disposition pour plus tard une autre chute à cette histoire, je tiens à le préciser intégralement fantasmatique.
Là, j'ai eu envie de m'amuser en la terminant comme ça.
X Fin, bis. (spécialement pour Léni)
Il a conduit rapidement jusqu’à chez nous.
Il a du me porter jusqu’à notre chambre. Il a retiré mon manteau, mes talons, a fait couler un bain, m’y a plongée.
Avec une éponge douce, il a lavé ma peau, s’attardant sur chaque millimètre de mon corps.
Puis avec une douceur infinie, il m’a posée sur le lit.
Il s’est déshabillé à son tour, puis il a massé chaque partie de mon corps avec une huile parfumée.
Ses yeux plantés dans les miens, il a dit :
- c’est bien ma salope, c’est comme ça que je t’aime, comme ça que je te veux.
Enfin, il est venu s’allonger contre moi, et nous avons fait l’amour.
Je sais que demain, je recevrai une fessée, je sais que les images de la soirée passée continueront longtemps à être présentes dans nos esprits chaque fois qu’il m’en administrera une, chaque fois que nos fantasmes se rejoindront, chaque fois que nos corps se mélangeront.
Vala, c'est parfait maintenant
Comme quoi, les cons promis, hein?
Merci Vette