Puisque je suis en plein étalage de mes défauts, je continue.
Je réagis sur le sujet de Lise, la passion.
Je suis une passionnée en ce qui concerne les gens. Ce qui m'a effectivement aveuglé le jugement trop de fois et a provoqué des réactions disproportionnées.
J'ai beaucoup travaillé là dessus et je suis plus sereine maintenant.
J'ai pris pour habitude de zapper ce qui me fait chier
et surtout de m'exprimer, même si parfois je suis plutôt
Le principal déclic ce que j'appellerais ces crises, c'est mon besoin d'être rassurée sur mon entourage (plus ou moins proche).
Au fil du temps et de l'acquisition de confiance en moi je me suis calmée là dessus aussi.
Quand je sens le vent venir, je me pose et fais un tour mental des gens qui m'entourent. Je m'auto rassure, en quelques sortes.
Les moments nuls où je ne vais pas très bien, où je me pose mille et une questions, où mon moral est sur le fil, font renaitre ce besoin qui devient parfois disproportionné.
En ce moment, donc.
Alors je me pose, et je fais mon pti tour. Sauf que là j'ai un caillou dans ma chaussure.
Je n'y arrive pas.
Et la machine s'emballe. Mon imagination avec.
Surtout qu'un évènement récent a mis le feu aux poudres.
J'arrive à prendre du recul mais pas à stopper l'engrenage. C'est plus un grain de sable que je dois y mettre mais un desert entier.
Je me déteste quand je suis comme ça, mais j'ai pris le parti d'assumer. Le seul moyen, je crois, de me battre contre moi même.
Je me suis confiée à demi mots à quelqu'un qui, je le sais, ne me juge pas et lis entre mes lignes.
J'imagine que ce post y fait suite. Je sais pas trop pourquoi j'écris ça.
Promis, après tout ça ne restent que les tous pitis défauts de rien du tout.