Pour moi, quand on pousse la notion de fidélité aux pensées de l'autre, même pas ses actes, juste ses pensées, on est pas loin de la lobotomisation...
Je serais assez d'accord avec toi, cher volatille. Je crois qu'on ne peut pas aller jusqu'à s'en vouloir pour des des pensées, parfois automatiques (enfin, chez la plupart des mecs : tiens une autre idée de fil !)
Aprés, il y a l'intentionnalité. Avoir l'envie profonde d'aller voir ailleur, c'est déjà un peu le faire. L'attachement, le bien être, l'envie d'être avec l'autre sont nécessaires. Sinon, pourquoi continuer (Mescal en a fait l'expérience, certains ne peuvent pas autrement... alors l'infidélité devient peut-être un "pis-aller").
Mais pour en revenir au point de départ (cybersexe) je pense qu'on entre déjà dans le monde des actes, on est dans une vraie relation avec un/une autre (même si la notion est plus ou moins "floue", je pense qu'on a pas besoin de préciser).