isabelle183
Invité
|
|
« le: 26-09-2007, 14:02 » |
|
Histoires perverses
Voila texte ancien avant le net. Je le mets dans la section ouverte pour ceux qui ne sont pas membres nuts. Peut-être cà les motivera de s’inscrire et de discuter avec nous.
[note de la modération: ce texte est qu'une des facettes de ce qui s'écrit sur Nuts, forum plutot varié coté pratiques sexuelles. De plus il s'agit d'un récit fictif, n'entrant pas dans les témoignages réels également présents sur le forum]
- Tu mérites une récompense de taille Bella. J’aimerais te montrer un petit rituel qui te plaira sûrement. Tu seras la première avec qui j’ai envie de le partager.
Et me voilà déjà prête pour des nouvelles aventures. Je suis Chloé dans sa salle de bains.
- Installe toi sur la table de travail Bella. D’abord tu auras droit à un petit lavement que je t’administrerai tout en douceur. Cela est un moyen, connu depuis l’antiquité, pour désintoxiquer le corps et pour le détendre aussi.
Je veux répondre quelque chose mais Chloé me met un doigt sur la bouche.
- Tais toi enfin et laisse toi faire.
Elle ouvre un tiroir de la commode et sort un objet que je n’ai jamais vu auparavant, et dont j’ignorais totalement existence. Il s’agit d’une courte ceinture en cuir rouge, assez rigide qui comporte en son milieu une ouverture entourée d’un anneau métallique.
- Ouvre la bouche ma chérie et tire bien ta langue.
Je commence à comprendre. Chloé me passe la langue à travers de l’orifice et boucle la ceinture derrière ma tête. Ma bouche reste largement ouverte et ma langue tendue au maximum. Impossible de parler. Je ne peux que pousser des sons inarticulés.
- Enfin du calme, dit Chloé. Comme c’est agréable. J’ai acheté cette jolie chose exprès pour toi cette semaine. Je suis entièrement satisfaite de cette belle trouvaille. Il n’y a pas que des paroles dans la vie. Tu dois apprendre à te taire parfois. Désormais à chaque fois que tu abuseras tu auras droit. As-tu bien compris ?
Elle me titille la langue avec son index. Pour signaler mon accord je hoche la tête. Chloé embrasse ma langue étroitement tendue vers elle. C’est succulent et très inaccoutumé comme sensation. Puis elle me déshabille complètement. Je me laisse faire. Chloé s’y connaît en sensations. Si elle estime que j’ai besoin d’un lavement pour atteindre des nouveaux sommets je ne dirai pas non.
Habillée rien que de mon collier et de mes bijoux intimes, elle m’installe à quatre pattes sur sa table. Puis elle me fait me prosterner, le fessier bien en l’air, les jambes écartées. J’ai déjà l’habitude de cette position, car elle s’emploie aussi pour l’épilation. Alors pourquoi refuserais-je de présenter mon anus pour des tendres soins vers Chloé. Le début est rude. Elle me badigeonne d’une crème qui me brûle si fortement que je hurle de douleur. Mais la souffrance s’évapore aussitôt pour livrer ses secrets. L’onction stimule la circulation sanguine. Mon anus devient hyper sensible au moindre attouchement.
Chloé se sert d’une très belle seringue de lavement et m’injecte doucement un liquide agréablement chaud. Je sens l’eau envahir mes intestins qui découvrent une sensation plaisante, je dois l’avouer, celle de l’étrange et de l’inhabituel.
Dès qu’elle sort la seringue, un besoin urgent se fait sentir, si urgent et pressant que je commence à paniquer. Il n’y a pas de toilettes dans la salle de bains. Je saute de la table sous les yeux amusés de Chloé et découvre à ma grande surprise par terre un beau pot de chambre en faïence avec son couvercle richement décorée. Je n’ai pas le temps pour réfléchir, ni pour courir vers les toilettes et je m’y applique sur place. Chloé me caresse la tête.
- Voici ce que j’appelle un lavement expressif. Et maintenant tu fais sagement pipi, Bella, en écartant les jambes pour ne pas en mettre partout. On est entre femmes.
Je n’ai pas l’habitude de faire mes besoins devant d’autres personnes. Mon bâillon m’empêche de protester. En plus, j’ai envie de faire pipi. Alors je m’applique.
Je me découvre bien en confiance sous les ordres de Chloé et je suis heureuse de lui obéir. Elle me regarde faire pipi en continuant à me caresser la tête. Je me sens comme une petite fille sur mon pot.
Puis je repasse sur la table. À cause des multiples miroirs rien ne m’échappe. Elle introduit dans mon anus tout propre une sorte de vibromasseur en forme de cône assez fin qui se rétréci vers arrière et qui fini par un rond plat et assez large. Il s’adapte parfaitement à mon anatomie. Une fois en place il ne bouge plus.
Chloé enlève le petit cœur qui relie mes piercings, puis me badigeonne copieusement avec la terrible crème. La sensation est encore plus forte qu’une épilation à la cire. Mes muqueuses sont à vif, de couleur cramoisie, d’une sensibilité inégalée. Chloé passe un doigt sur mon clitoris pour tester s’il a bien durci. Je pousse un fort cri inarticulé de plaisir, tellement cela m’excite. Cette crème, si douloureuse à l’application, est fameuse. Par des bruits et gestes j’en redemande. J’ai droit à une goûte supplémentaire. Je me tords de douleur en attendant l’effet tant désiré. J’ai l’impression que mon clitoris est prêt à éclater.
Chloé prend son temps pour me glisser des boules de geisha bien graissées dans mon intimité. À chaque passage le bruit ressemble étrangement aux sonorités émises par certains malades mentaux et qui font tant rire les enfants. J’ai du mal à croire que c'est moi, mais au passage de la boule suivante, toujours plus grande que la précédente, je ne peux pas m’empêcher de recommencer encore plus fort. Les sensations sont si intenses que je m’abandonne aux soins de Chloé. Les boules de geisha sont reliées à une longue laisse. Pour finir les préparations mon amie accroche une deuxième laisse à mon collier et la passe entre mes jambes. Avec ce dispositif elle arrive à me diriger en douceur.
Munie d’un long vibromasseur en main elle m’incite à faire le tour de la pièce. D’abord debout, parfois sur les pointes de pieds. De temps en temps pour me récompenser de ma docilité elle me glisse le vibromasseur le long de mon sexe rouge ardent à cause de la circulation sanguine forcée. Je suis de plus en plus stimulée et pousse des bruits lubriques à travers mon bâillon. Bientôt, par ma propre initiative je me retrouve à quatre pattes en ondulant lascivement le derrière pour suivre les récompenses du vibromasseur. Maintenant je comprends l’usage de la deuxième laisse. Je suis à la recherche de satisfaction à tout prix et j’avance de plus en plus vite pour que les boules puissent s’approcher de mon clitoris.
Mais Chloé devine mes intentions et fait en sorte que la laisse reste détendue. Mes mouvements de plus en plus rapides stimulent mon anus par le biais du bouchon qui dépasse obscènement entre mes fesses. Puis à force d’effort et d’excitation je n’ai plus de souffle. Je me retourne vers Chloé qui ne réagit pas. Je m’agenouille devant elle et pousse des bruits rauques faute de pouvoir implorer Chloé par des mots ,de m’autoriser un orgasme. Elle me regarde avec douceur, mais reste immobile.
Avec la pointe de la langue je lui lèche les pieds, les jambes, le pubis, le clitoris. Elle soupire fortement en me caressant la tête. Mais elle ne s’accorde pas d’orgasme non plus et c’est parti pour le tour de la terrasse où elle m’enlève le bâillon, tire enfin sur la laisse avec les boules pour faire la place au vibromasseur. Jamais avant dans ma vie j’ai éprouvé un plaisir d’une telle intensité. Je hurle sans me soucier que quelqu'un puisse m’entendre. Je n’y pense même pas. Un orgasme violent me libère d’une tension insoutenable. Je suis sur un nuage de bien-être. Et là je pense : Si je mourrais demain, au moins j’aurai connue l’extase.
|