Bon.
Zut alors. Ma pauvre chatounette
Même si l'appétit vient en mangeant, j'ai déjà pu vérifier qu'un doigt de frustration était fort attrayant.
je me sexplique :
Il fort fort fort longtemps, un jour, mon désir s'en alla.
Sans détours le bougre, il prit son baluchon et partit voir ailleurs si les poils étaient plus bouclés, les pénis plus gonflés...un peu comme Carrefour qui compare les prix chaque jour.
Mon chéri de l'époque en fur fort marri.
Pris d'un accès de colère, il me dit "Madame, tel le Phoenique, je ferai renaître votre désir de ses cendres, mais pour ce faire, mon vit durant des semaines vous n'approcherez"
Sur le coup, j'en fus fort soulagée, mais mon plaisir fut de courte durée.
Rapidement, la frustration fut mon étendard et je n'eus plus qu'un seul objectif en tête : faire plier mon arrogant chevalier.
Mais plus je m'acharnais, moins il fléchissait...
Hélas, si seulement il avait pu être aussi facile à attraper que le fromage de ce cher corbeau !
Queue nenni, rien n'y fit.
Huit jours durant il me mit au supplice, se refusant comme la pire des vierges effarouchées.
L'aube du neuvième jour semblait bien devoir ressembler à toutes les précédentes... mais alors que dans mon sommeil engoncée, je m'apprêtais à m'extraire, je sentis une cuisante rigidité infléchir mes courbes allongées.
Je sus alors que le temps était venu de goûter à d'autres saveurs que celle de la pénitence...
Bref, tout cette broderie pour dire en clair dans le texte : interdisez vous volontairement tout rapport sexuel. Comme le Carême, un petit jeûne sexuel
Le premier qui craque a perdu, quoi à vous de voir
Les règles du jeu, à vous de les instaurer : tu peux autoriser certains trucs, pas d'autres...
En tous cas, ça devrait marcher ;-)) faut juste se laisser prendre au jeu.
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