Cours n° 5 L’érotisme de la nudité

[vette]

Si elle est au repos, c'est qu'elle s'est bien fatiguée. é

Le tout étant d'avoir participé soi-même à sa fatigue.

Une bite d'homme au repos, je trouve que ça ressemble à un oiseau dans son nid. Je trouve ça attendrissant.
Surtout que le moineau ne tarde jamais à se transformer en aigle aux ailes déployées.
Ou en un cormoran, mais ça, c'est quand ils sont plus vieux.

[Hotllywood]

  Tant que c'est pas en colibri ou en mouette mazoutée...

[Flibette]

mouette mazoutée...

Mode, Ben c'est élégant! ON:

Ben, tu sais, des fois, après, une bonne sodo... 


Mode Ben c'est élégant! OFF.

[Hotllywood]

Roooooh 

[LPF]

Pour moi la nudité pleine et entière c'est pas ça qui me fait grimper aux rideaux et me prendre pour le loup de Tex Avery. Faut un tit chouilla minimum avec, comme pour la sublimer.

Pour rebondir sur Hot' (pour une fois...), le truc qui me fait hurler à la lune (juste avant que résonne dans ma tête la Chevauchée des Walkyries et que j'interprète une charge cosaque, celle dans laquelle je figure en tant qu'uhlan  ) c'est la vision divinement rhaaaaaaa du liseré d'un bas, par le biais d'une jupe soit fendue, soit un tantinet trop courte.

Et pis tiens, question souvenir de film de quiou (non non, pas le type des gadgets dans James Bond), je me souviens d'un porno amateur dont j'ai oublié le nom, mais une scène pas très bien filmée d'un jeune couple (à la ville et pas qu'à l'écran) qui s'envoyait en l'air en prenant un pied terrible. Bandissimal, avec juste la limite du mal à l'aise d'un voyeurisme mal placé.

LPF, "mou, moi? jamais!"