Tiens, ca me rappelle cette chanson de jean Gabind ....
Alors que MC Jean Gab1 disait :
Certains m’appellent le nettoyeur, mais j’opterais pour le fossoyeur, car j’aime remuer la merde,
J’ai collé mes frolos avant de rentrer dans ce biz - go, alors pas besoin de poto, j’t’emmerde, j’t’emmerde, et j’t’emmerde,
et pour commencer, égratigner ceux qui soit- disant font danser,
C’est un clash, ou bien X sans nous pourraient pas becter, te pisseraient leur langue dans la fente, pour t’faire des mix tape made in France, quand tu viens guincher, ramène tes guiboles rasées,
Eh, y’a plus rien de Français, alors monsieur DJ à la "oneagain" change de skeude,
Et n’viens pas tu connais l'underground, alors q't’es plutot fashion, alors action, j’t’emmerde et j’t’emmerde,
Marquer avec frelo, t’es pas Romano, mais en bikini avec son look, ton pater, un tas de fric,
Ca t'evite de repiquer avec les schmites, les squates, t’en a que l’odeur, et rien d’un assassin,
À force de t’doser, c’est l’hôpital qui se moque de la charité, shoote toi, chouf toi dans une glace,
Car c’que tu vois c’est dégeulasse, eh renois, oups, t’as rasé tes tifs, Babylone
J’t’emmerde, j’t’emmerde et j’t’emmerde, quant aux "narvalos" de la nation,
Dis leur qu’je suis au haut-parleur, sachez que le hip-hop,
C’est pas de seulement faire des gribouillis sur un muret,
Et s’faire tâlter par les calcoups de la ferro comme un furet, F.M.P fanfaron manager par une pute,
Encore un coup foireux comme le B.O.S.S, boulot organisé qui suce et sniffe,
Authentik sur papelar, alors qu’ces deux là voulaient se rentrer dans le lard,
Eh tout n’est pas si facile, qu’est ce t’attend pour le foutre au feu et t’foutre au feu,
Critique la soupe, il faut les croûtons qui vont avec, eh, et même si y’en à qu’un qui sort des briques,
Et l’autre 'Tos c’est venant des 30 piges pour vendre du shit, c’est arrivé près de chez toi, ouais ma gueule,
Carrément sous ton nez, l’argent pourri les gens, c’est plus un sentiment, … ,
Hep, bien sûr j’vous emmerde, j’t’emmerde, j’t’emmerde, et j’t’emmerde.