je pense que le fric en soi jusqu'alors n'etait pas un probleme,et ça aurait pu continuer.
c'est ptetre l'impression de fausseté des rapports construits, les mensonges journaliers ,inenvisageables,les yeux qui se desillent..
un coup de massue là je pense,qd on doit avoir la sensation de s'etre fait "eu" sur la confiance!!jcrois que c'est ça que j'ai compris ,moi plutôt.
Hot?
Tres precisement ça oui.
vi pardon Vette ma fait remarqué que j'ai zappé le mensonge sur le verssement pension, ok ca c'est franchement pas correct.
C'est la clé de voute effectivement.
Concernant ta remarque sur la boniche et toussa:
L'un rentre à 17h chez lui, l'autre à 20h. Moi je marche de la maniere suivante (en tout cas idealement) celui qui n'est pas là fait pour l'autre. LE truc n'est pas de me glisser les pieds sous la table et ne plus rien foutre par ce que je suis crevé par ma journée.
Le truc est: je rentre, je me glisse les pieds sous la table puis apres le repas je ré-enquille en doublette le debarrassage-machin-fonctionnement du foyer.
Autre exemple: les mains dans la graisse spa son truc alors JE fais la vidange et elle repasse le linge. Je passe l'aspi, elle lave par terre.
Elle n'a pas le temps de faire ca je le fais et la fois d'apres c'est l'inverse.
Du jour ou je me suis senti cocu du pognon, j'ai ouvert les yeux sur le reste.