Bien, bien. Je me suis forcé à attendre un peu avant de réagir faces à certains posts, en espèrant que le sujet reprendrait le cours souhaité dans mon post initial. En effet, comme l'a fait justement remarqué Sister, le sujet "tabou" concerne plus les pulsions sexuelles que les pulsions violentes. Et à part Christelle qui a fait part d'un témoignage de culpabilité, je suis surpris qu'aucun autre n'en ait livré. Peut-être du côté de chez
SwanHot ? (peut pas m'en empêcher
) qui parle de choses très dérangeantes.
Ensuite, pour répondre à Sister, il est probable que le manque de sexualité à cette époque ait pu intervenir, mais ce n'est pas le côté "intéressant" de cette pulsion. Ce qui m'a troublé, ce n'est pas en soi d'avoir une pulsion sexuelle, car en période de manque notamment on en a davantage, non c'est d'en avoir dans des circonstances inattendues et non souhaitées. Ce qui m'intéresse c'est l'analyse et la compréhension du mécanisme des pulsions et de ce qu'on en fait avec sa conscience. Je crois que les pulsions sont une manifestation physiologique du corps et de la partie animale du cerveau. C'est à dire que dans des situations où deux corps sont collés ou frottent l'un contre l'autre, cela provoque une réaction physiologique, comme un réflexe (et là je parie que tous les hommes ont connu ça, dans le métro, dans la foule, ...), quitte à ce qu'ensuite notre réaction retombe car notre conscience la refoule.
Enfin, pour modérer l'impression que peut en donner PS, nous n'avons pas parlé de ce sujet exclusivement pendant 3 heures, ce n'est pas comme si c'était une conversation sur ce point précisément. On est venu à parler des tabous et voilà...